Inondations, feux et tempêtes : pourquoi la RSA prête attention aux changements climatiques
Alors qu’était célébrée la Journée mondiale de l’environnement le 5 juin dernier, les conditions météorologiques extrêmes continuent d’occuper les manchettes.
En mai, l’Organisation des mesures d’urgence du Nouveau-Brunswick a placé les résidents riverains du fleuve Saint-Jean en état d’alerte élevée en raison de la crue des eaux causée par les fortes pluies qui s’abattaient sur la région. Pendant ce temps, le printemps anormalement chaud de la Colombie-Britannique a causé des glissements de terrain à travers la province.
Le mois dernier a également été difficile au Québec et dans l’est de l’Ontario, où d’importantes inondations ont incité plusieurs communautés à envoyer des avis d’évacuation, à déclarer l’état d’urgence et à appeler les Forces armées canadiennes en renfort. À l’heure actuelle, des communautés en bordure du lac Ontario continuent d’encaisser les répercussions du niveau élevé record de l’eau.
« Nous nous préparons à un afflux important de réclamations, alors que nos clients commencent à constater l’impact de ces événements météorologiques sur leurs habitations et leurs vies », explique Shari Douglas, vice-présidente des opérations nationales d’assurances des particuliers à la RSA du Canada. « Des moments éprouvants pour eux, c’est le moins que l’on puisse dire ».
En tant que leader de l’assurance, la RSA a de bonnes raisons de prêter une attention bien particulière aux conditions météorologiques extrêmes. Nous n’avons qu’à penser à l’année dernière. Des feux de forêt dévastateurs de Fort McMurray à la tempête de grêle de Moose Jaw, en passant par les inondations de l’Action de grâce au Cap Breton, 2016 aura établi un record pour les dommages assurés causés par des intempéries et autres catastrophes naturelles – atteignant un total de près de 5 milliards de dollars. « Le lien entre le secteur des assurances et les changements climatiques est très clair », poursuit Mme Douglas.
Le mois dernier, cette connexion est devenue d’autant plus claire lorsque le WWF-Canada s’est assis avec l’équipe de direction de la RSA pour discuter des impacts des changements climatiques sur le monde d’aujourd’hui – et de ce que cela pourrait signifier pour l’industrie de l’assurance. La présentation a permis de renforcer l’engagement de l’entreprise à être un chef de file de la construction d’un avenir plus durable.
« Pour la RSA, la meilleure façon de prévenir et d’atténuer les risques liés aux changements climatiques est d’assumer un leadership se traduisant par des changements de comportement autant par les particuliers, les entreprises et les gouvernements », a déclaré le vice-président principal TI et directeur de l’information, John Ellio
Pour ce faire, la RSA montre la voie de diverses façons. Ses équipes vertes trouvent des moyens de réduire l’empreinte de l’entreprise en appuyant des programmes de recyclage, des audits énergétiques et d’autres initiatives. Pendant ce temps, en tant que partenaire principal du programme Living Planet @ Work du WWF-Canada, la RSA offre à ses bureaux de partout au pays les outils dont ils ont besoin pour ralentir la progression des changements climatiques.
L’entreprise aide également ses clients à réduire leur impact environnemental et à atténuer les risques associés aux conditions météorologiques extrêmes. Cela signifie de promouvoir autant le transport en commun que les panneaux solaires, en passant par les technologies intelligentes qui réduisent la consommation d’électricité, et bien plus encore.
À l’échelle mondiale, la RSA est une grande défenseure des énergies vertes, assurant le quart des éoliennes de la planète ainsi que de nombreuses installations de production d’énergies solaire et hydroélectrique. « En tant que chef de file des énergies renouvelables, nous encourageons ces technologies parce qu’elles constituent une alternative sécuritaire et saine », déclare Louis Vatrt, vice-président adjoint des Assurances spécialisées nationales et internationales. La RSA du Canada a également travaillé avec le WWF-Canada afin d’identifier les meilleurs sites pour des projets d’énergies renouvelables au pays.
Si la Journée mondiale de l’environnement est l’occasion de célébrer la nature, c’est aussi l’occasion de célébrer les gens qui travaillent dur pour la protéger. Pour les cadres supérieurs de la RSA, cela signifie d’en faire plus que de répondre aux incendies, aux inondations et aux tempêtes de verglas lorsqu’ils se produisent. Cela implique également de prendre des mesures pour diminuer les risques d’impact dans le futur, en faisant tout en leur possible pour lutter contre les changements climatiques.